Maître-maçon à La Perrière, près de La Ferté-Macé (Orne), en 1854. Le sous-préfet de Mortagne lui attribuait des « opinions socialistes très avancées », l’accusait de chercher à faire de la propagande parmi ses ouvriers, mais lui croyait en fin de compte assez peu d’influence.
SOURCE : Arch. Dép. Orne, série M., Police générale, liasse 1853-1859, lettre du sous-préfet de Mortagne du 10 janvier 1854.