Né en 1898 à Nîmes (Gard) ; cheminot ; socialiste.
« Chef de locomotion » du chemin de fer de Montpellier à Nîmes. Il avait peut-être été taffetassier. Socialiste militant, il joua un rôle important lors de l’insurrection de décembre 1851, puisqu’il siégea au Comité de Permanence de Nîmes. Déporté en Algérie, il revint peu après, mais fut l’objet pendant tout le Second Empire d’une surveillance policière sévère.
Voir Aimé Lyon*.
SOURCE : Arch. Dép. Gard, série M 6.