Prêtre socialiste. En 1848, il fit partie du Comité central démocratique des Ardennes. En 1849, il réclamait le droit d’association, l’impôt progressif, le droit au travail, des mesures pour la vieillesse indigente et les travailleurs invalides. Il fut élu président de l’Association de secours mutuels d’Attigny, en 1850. Il était alors interdit par l’autorité ecclésiastique, comme socialiste.
Voir Robert Léon*.
SOURCE : J.-B. Duroselle, Les Débuts du catholicisme social en France, 1822-1870.