Révolutionnaire du 10 août 1792 et babouviste, dont la carrière épouse celle de son ami Clémence*. Il connut les mêmes prisons sous la Convention thermidorienne, sous le Directoire et sous le Consulat. On sait en outre que la police consulaire le plaça en résidence surveillée dans un village de Normandie au moment du passage à l’Empire, en 1804.
SOURCE : M. Dommanget, Babeuf et la Conjuration des Égaux, Paris, 1922, p. 54.