Républicain de Chalon-sur-Saône, compromis en juin 1849 se trouvait être signalé à Genève dans un rapport du ministère de l’intérieur du 26 juillet 1849. D’après la lettre de Cœurderoy* à Sinaï-Combet* du 12 avril 1850, il était rentré en France à cette époque.
SOURCE : M. Vuilleumier, « Trois lettres inédites d’Ernest Cœurderoy », International Review of Social History, vol. XI (1966), Part 2. — Note de J. Risacher.