Ouvrier ferrandinier de Saint-Étienne (Loire). Il demanda, en vain, le 16 février 1860, avec Blachon*, Fevelle* et Picot*, l’autorisation de reconstituer légalement la Société des Ferrandiniers, dissoute en 1856, mais qui continuait à fonctionner clandestinement. Voir Curat Jean-Baptiste*