Né dans la Haute-Garonne. Jeune ouvrier, il adhéra, en 1848, au club de la Montagne de Marseille et en devint rapidement le secrétaire. Il fut arrêté, le 28 avril 1848, au sujet du « complot » (affaire dite de la Montagne) visant à anéantir le résultat des élections en se rendant en armes à l’Hôtel de Ville de Marseille pour s’emparer des procès-verbaux du résultat, car trop de légitimistes avaient été élus. Voir Couturier*, Péragoux Jean*
SOURCE : Arch. Dép. Bouches-du-Rhône, 14 U 10, dépôt d’Aix.