Il est difficile d’identifier avec précision ce militant ouvrier de Reims.
Un Millet est signalé comme président du « Comité républicain », qui, le 7 mars 1848, à Reims, fit placarder un « Avis au Peuple ». Voir Gellé*.
Un Millet-Lecoq, ouvrier menuisier icarien, faisait, en 1848, partie du « Comité électoral de la Démocratie rémoise » qui, le 16 avril, le désigna comme un de ses candidats aux suffrages des électeurs.
Un Millet, ouvrier menuisier, fut présenté comme « candidat des travailleurs » aux élections du 23 avril 1848. Il ne recueillit que 2.171 voix et ne fut pas élu.
Aux élections municipales de Reims (30-31 juillet 1848), un Millet, ouvrier, était présenté par le « club de la Fraternité ».
SOURCE : Boussinesq et Laurent, Histoire de Reims..., t. II. 2e partie.