Né en 1811, il habitait Tarascon (Bouches-du-Rhône) en 1853. Il avait été condamné, en 1852, par la Commission mixte des Bouches-du-Rhône, à l’internement, puis gracié. Il était signalé comme un individu dangereux de l’arrondissement d’Arles en 1853 : « Esprit remuant, infatigable propagandiste et perdu de réputation, très mal posé à Tarascon quoiqu’appartenant à une famille honorable ». Voir Michel Gabriel*
SOURCE : Arch. Dép. Bouches-du-Rhône, M 6/366.