Officier de la Garde nationale de Paris compromis en juin 1848, il fut contraint de s’exiler en Belgique. Installé à Bruxelles, il devint l’ouvrier, puis l’associé d’un artisan doreur sur métaux. Il ne quitta cette ville qu’après l’amnistie de 1859 pour revenir mourir à Paris.
Y a-t-il identité avec le précédent ?
SOURCE : Amédée Saint-Ferréol, Les Proscrits français en Belgique, Paris, Le Chevalier, 1871, vol. 1, p. 45. — Notes de M. Cordillot.