Maçon à Paris en 1830, il avait combattu sur les barricades de Juillet. Il se trouvait, au début de 1832, dans une auberge de Vrécourt (Vosges) et déclara, après boire, que Louis-Philippe était une canaille, et que lui-même faisait partie des 200.000 hommes prêts à prendre les armes contre le roi. Déféré en mars devant la cour d’assises des Vosges, il fut acquitté comme ayant agi sous l’influence de la boisson, et bien qu’il n’eût exprimé que de vagues regrets de ses paroles.
SOURCE : La Sentinelle des Vosges, 17 mars 1832.