Mécanicien à Grenoble en 1853. Il avait écrit en grosses lettres, dans son atelier : « Vive la République ! » Il fut condamné à trois mois de prison dans une affaire d’introduction clandestine de brochures démocratiques par la Savoie. Voir Bertolino*, Junot*, Madelin*, Trinquieri*.
SOURCE : Pierre Angrand, Victor Hugo raconté par les papiers d’État, Paris, 1961, p. 105.