Tailleur à Sancoins (Cher), soupçonné d’appartenir à la société secrète locale, il fut condamné à la déportation en Algérie (Afrique plus). En fuite, il se réfugia à Paris où on l’arrêta en 1853. Sa peine fut toutefois commuée en internement à Paris.
SOURCES : Arch. Nat., BB 30 399. — Arch. Dép. Cher 25 M 120. — Note de M. Pigenet.