Domicilié à Marcillac (Aveyron). Accusé d’avoir marché, avec les républicains de Marcillac, sur le chef-lieu Rodez, il fut condamné à l’Algérie plus.
SOURCES : Arch. Dép. Aveyron, Série 4 M1 16 à 18. — Hippolyte de Barrau, Galerie des préfets de l’Aveyron, Rodez, Carrère, 1870, tome IV. — Note de J.-M. Cosson.