Né à Bordeaux en 1802, ouvrier charpentier, peut-être membre d’un groupement compagnonnique, signalé à Bordeaux, sous la monarchie de Juillet, comme exerçant une influence « désastreuse » sur ses compagnons de travail. Père les aurait incités à un arrêt concerté du travail ayant pour but une augmentation de salaire, tentative d’ailleurs enrayée par les « sages dispositions de la police » qui sut « intimider les meneurs » de ce mouvement prévu pour le printemps 1840. Il devait, en 1849 et au début du Second Empire, faire partie de la Militante, société secrète républicaine. Voir Barrier*, Guillebeau Pierre*
SOURCE : Arch. Dép. Gironde, série M.