Ouvrier tisseur en soierie à Lyon. Gagné à la doctrine saint-simonienne, il attachait une importance particulière aux idées relatives au rôle de la femme dans la construction de la société future. Il fut un des partisans les plus enthousiastes de la propagande féministe et unioniste de Flora Tristan*, lors de son passage à Lyon en 1844. Mais Pérelle était un exalté qui passait pour fou et l’était sans doute un peu. Voir François Arlès-Dufour*, Laurent*.
SOURCE : J.-L. Puech, La Vie et l’œuvre de Flora Tristan, p. 208.