PETIT E

Membre de la « Lice Chansonnière ». Dans Le Pamphlet du pauvre, il a été confondu par erreur avec un pianiste accompagnateur du même nom. Il a écrit et chanté, vers 1848, un Chant des travailleurs :
N’accusons pas la Providence,
Partout elle conduit nos pas !
Le spectre d’or de la finance,
Demain peut voler en éclats.
À nos rangs ! et luttons, malheur à qui s’endort !
Dans un pareil combat, le sommeil c’est la mort.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article36091, notice PETIT E, version mise en ligne le 20 février 2009, dernière modification le 20 février 2009.

SOURCES : Eugène Imbert, La Goguette et les Goguettiers. Étude parisienne, 3e édition, augmentée, Paris, 1873. — La Chanson française. Le Pamphlet du pauvre (1834-1851). Introduction et notes par Pierre Brochon, Éditions sociales, Paris, 1957.

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