RAMBERT

Ouvrier terrassier. Il fut condamné, à la fin de 1855 ou au début de 1856, par le tribunal de Saintes (Charente-Inférieure), à deux mois de prison pour avoir dit sur les chantiers : « Si les affaires vont mal, c’est de la faute de Napoléon, il nous faut un Robespierre, il nous faudrait la guillotine, etc... » Voir Auclair Jean*

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article36764, notice RAMBERT, version mise en ligne le 20 février 2009, dernière modification le 20 février 2009.

SOURCE : Arch. Nat., BB 30/385, Poitiers.

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