Ouvrier cordonnier à Paris au début de la monarchie de Juillet, un des promoteurs, avec Zael Efrahem*, cordonnier comme lui, du mouvement « syndical » des travailleurs de la capitale. Ils étaient liés à la Commission de propagande de la Société républicaine des droits de l’Homme, ce qui valut à Rigal d’être poursuivi.
SOURCE : Gazette des Tribunaux, 10 et 11 octobre 1834.