Publiciste conservateur à Saint-Étienne sous la monarchie de Juillet, Robert tenta de prendre la direction du mouvement populaire de mars 1848 dans la principale ville de la Loire. Repoussé par les militants de ce mouvement, il gagna Paris, où il devint rédacteur en chef de La Voix des Clubs et secrétaire de la Société Républicaine Centrale animée par Auguste Blanqui*. Malgré l’intervention d’Alphonse Maygre*, il conserva ces deux fonctions.
SOURCES : L’Union, journal conservateur auquel collabora Robert. — L’Avenir républicain, n° du 7 mai 1848.