Né au Chambon-Feugerolles (Loire) et y demeurant. Il fut déféré, en octobre 1849, devant le conseil de guerre, pour des raisons qui avaient à voir avec la surveillance générale exercée sur la classe ouvrière, depuis que les passementiers exigeaient la fin de la journée de travail à sept heures du soir.
SOURCE : Arch. Dép. Loire, 10 M 31 : note du commissaire de police du 28 octobre 1849.