Né vers 1797. Marchand de vins à Sainte-Menehould (Marne). Capitaine de la garde nationale. En janvier 1850, il était signalé comme propagandiste socialiste et comme faisant circuler des pétitions contre l’impôt sur les boissons. Il était en correspondance avec le représentant Charras. Au moment du coup d’État du 2 décembre 1851, le sous-préfet le dépeignait comme un « matamore bruyant et redouté ».
SOURCE : Arch. Dép. Marne, 30 M 17.