Il demeurait à Versailles (Seine-et-Oise), rue des Deux-Portes, et figurait en 1841, puis de nouveau après la révolution de Février, sur les listes de cabétistes ou de communistes. Il était présenté comme un habile vendeur des ouvrages de Cabet* : il avait cherché à monter chez lui une loterie, dont ces ouvrages auraient été les lots. Voir Breton et Jean Bosan.
SOURCE : Arch. Dép. Seine-et-Oise, IV M 1/42 et 49.