Né vers 1800. Garde champêtre à Mallemort (Bouches-du-Rhône) avant 1852. Il fut condamné par la Commission mixte des Bouches-du-Rhône, en mars-avril 1852, à la transportation en Algérie, puis gracié. Il était membre d’une société secrète, « très exaltée », et continua ses relations avec Giloux, après la remise de sa peine, ce qui en faisait un « homme dangereux, à surveiller ». Voir Giloux A.*, Michel G.*
SOURCE : Arch. Dép. Bouches-du-Rhône, M 6/366.