Ami et correspondant du dirigeant mutuelliste lyonnais Pierre Charnier*, il resta en contact épistolaire avec lui lorque ce dernier quitta Lyon pour se rendre à Paris au lendemain des événements de novembre 1831. Théodore de Seynes fut la même année l’auteur d’une brochure intitulée Lyon 1831 et sous titrée « Le patriotisme a expiré avec la République. La Révolution de 1830 ne l’a pas vu renaître » (Lyon, impr. de Charvin, nd, in-8, 8 p.)
SOURCE : Les Révolutions du XIXe siècle. 1830-1834 (catalogue), Paris, EDHIS, s. d. — Fernand Rude, Le Mouvement ouvrier lyonnais de 1827 à 1832, op. cit. — Notes de R. Skoutelsky et M. Cordillot.