Marchand mercier, rue des Chapeliers, à Toulouse, en 1845. Il était considéré comme « un des chefs ardents du parti communiste » par Garnier qu’il attirait chez lui. Il recevait des ballots d’ouvrages de Cabet*, avec qui il correspondait, et fréquentait de nombreux voyageurs de commerce. Il aurait agi surtout dans les casernes du 5e régiment de ligne. Voir Gouhenant A.*, Rivière J.*
SOURCE : Arch. Dép. Haute-Garonne, 4 M 56, lettre du 16 mai 1845.