Tisseur, 2, rue des Fantasques, à Lyon, il appartenait à la Société coopérative et de prévoyance des tisseurs de Lyon et à la Libre Pensée.
Il avait été affilié aux sociétés secrètes qui, en 1848, avaient été à l’origine de la révolution à Lyon et il avait « conservé des relations avec les réfugiés de Londres et de Genève. »
SOURCE : La Coopération lyonnaise jugée par l’ex-police impériale..., Lyon, 1870, in-8°, Bibl., Nat., Lb 57/207.