Né le 15 septembre 1825 à Châtillon-sur-Sèvre (Deux-Sèvres) ; tisserand à Coulonges-Thouarsais (Deux-Sèvres).
Fils de René Charles Supiot (1798-1879), tisserand, et de Victoire Talbot, Henry Supiau était tisserand lui-même à Coulonges-Thouarsais en 1856.
Il fut condamné, le 13 septembre 1856, par le tribunal correctionnel de Bressuire, à six mois de prison pour affiliation à la société secrète la Marianne.
Voir Arnault Philippe-Auguste pour la liste des « Marianneux » des Deux-Sèvres condamnés en 1856.
SOURCES : Arch. Nat., BB 30/417, p. 1411. — Arch. Dép. Deux-Sèvres, Registre des jugements du tribunal de Bressuire, année 1856 ; état civil et recensements. — Notes d’Alain Dalançon.