Né vers 1836, habitant de Gérardmer (Vosges). Il eut le malheur de dire à l’auberge, en 1858, sans doute après avoir bu un peu trop : « Vivent les Rouges ! À bas les Blancs ! Napoléon tombera ! » On ignore les suites de cette affaire qui fit l’objet d’un rapport du sous-préfet de Saint-Dié, le 25 janvier 1858.
SOURCE : Arch. Dép. Vosges, 8 bis M 20.