Né vers 1835 à Corné (Maine-et-Loire), demeurant à Trélazé (Maine-et-Loire), ouvrier de carrière. Impliqué dans l’affaire de la Marianne (nuit du 26 au 27 août 1855), il fut condamné le 30 octobre 1855, à trois mois de prison et à cinq ans de privation des droits civiques par le tribunal correctionnel d’Angers. Voir François Attibert* et Charles Beaudouin*.