Né à Meyssac (Corrèze) le 7 novembre 1815. Célibataire, huissier à Meyssac. « Propagateur des plus ardents des idées socialistes ; exalté et reconnu homme très dangereux », il fut condamné, par la Commission mixte de la Corrèze, à cinq ans de surveillance. Malgré l’avis contraire du tribunal de Brive, l’administration le révoqua de sa charge.
SOURCE : Arch. Dép. Corrèze, série E ; série M. — Breillout, La Révolution de 1848 en Corrèze, p. 145. — Note de G. Beaubatie.