Vice-président de l’« Association des travailleurs amis de l’ordre » à Niort (Deux-Sèvres), en 1848. Ce groupement était certainement plus « modéré » que les groupements ouvriers qui, à Niort, se réclamaient du socialisme.
Toutefois, son secrétaire était l’auteur d’un plan d’accroissement de la consommation, le problème de la suffisance de la production, sur lequel les conservateurs achoppaient et prétendaient faire achopper toute réforme sociale, n’en étant pas un pour lui. Voir Martin aîné*, Petit-Crétal, dit Poitevin-la-Vertu*.