Chirurgien de la marine, à Toulon, au début de la monarchie de Juillet, il fut un des premiers adeptes de l’« église » saint-simonienne de la ville et dut probablement à cette prise de position d’être désigné pour l’Algérie. Il semble en être revenu, puisque la famille saint-simonienne de Toulon le considère encore comme un adhérent actif à l’automne 1833. Voir Jean Aicard*, Gallon*, Louis, Charles Jourdan *, Fulchran Suchet*
SOURCES : Marcel Emerit, Les Saint-Simoniens en Algérie, Paris, 1941. — Livre des Actes (Recueil factice d’imprimés saint-simoniens), Bibl. Mun., Marseille, cote J 3692.