Cordonnier au Havre. Premier signataire et rédacteur, vraisemblablement, en octobre 1856, d’une lettre demandant au conseil des prud’hommes son intervention en faveur d’une augmentation des salaires fondée sur la cherté de la vie. Le conseil des prud’hommes répondit qu’il ne s’agissait pas « d’un petit différend » de sa compétence, « mais bien d’une grave question d’économie politique ».
SOURCE : Arch. Mun. Le Havre, F 2/15, liasse 6.