VINET

Boucher à Gien (Loiret) en 1851. Condamné pour avoir dit dans un cabaret de la ville : « Il y en a 400 à Gien, la campagne non comprise, qui doivent y passer quand notre parti aura le dessus ! Il faut supprimer tous les inutiles ! » Il accueillit sa condamnation en criant : « Vive la République démocratique et sociale ! »

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article38845, notice VINET, version mise en ligne le 20 février 2009, dernière modification le 20 février 2009.

SOURCES : Arch. Nat., BB 30/366 (lettre du procureur général d’Orléans du 12 avril 1851). — C. Marcilhacy, « Crise dans le Loiret, 1846-1852 », dans Revue d’Histoire moderne et contemporaine, t. VI, n° de janvier-mars 1959.

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