Né vers 1823, vigneron, puis tailleur de pierre. Il était signalé en 1851 comme un affidé de la Propagande démocratique et sociale. Il fut condamné à l’internement à Libourne, après le coup d’État. En mars 1852, il obtint un passeport pour Perpignan où il allait chercher du travail. Finalement gracié, il revint à son village de Dolaincourt (Vosges), le 10 mars 1853. En fait, il avait payé pour son frère, Auguste-Joseph Voirin, vétérinaire à Vouxey, avec lequel on l’avait confondu. Voir Jean-Baptiste Dubois.
SOURCE : Arch. Dép. Vosges, 8 bis M 5 et 12 M 12.