Demeurant à Montbéliard (Doubs). Signalé, le 4 janvier 1850, par le rapport du procureur général de Besançon comme un agent phalanstérien. On ne parla pas de lui lors de l’épuration qui suivit le coup d’État du 2 décembre. Voir Frédéric Beley*
SOURCE : Arch. Nat., BB 30/373.