Né le 28 juin 1878 à Montgibaud (Corrèze), mort le 3 mars 1952 à Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne) ; cheminot ; militant communiste du Lot-et-Garonne.
Fils de cultivateurs, employé aux chemins de fer, Jean Frange (parfois orthographié Fragne par erreur) fut élu en 1929, maire adjoint communiste de Port-Sainte-Marie puis réélu en mai 1935. En 1932, il était secrétaire adjoint de la cellule et restait un des dirigeants en 1935. Selon les rapports de police, cette cellule groupait, en 1932, une cinquantaine de militants et, en 1934, dix-huit. Voir M. Braudoux, R. Philippot*.
Jean Frange s’était marié le 11 octobre 1919 à Port-Sainte-Marie.
SOURCES : Arch. Nat. F7/13129. — Arch. Dép. Lot-et-Garonne, cabinet du préfet, dossier n° 8. — État civil de Montgibaud, 22 mai 1984.