MEYER Édouard, André. Pseudonyme : Ede STENGEL

Par René Lemarquis, Claude Pennetier, Pierre Schill

Né le 22 décembre 1902 à Hanviller-lès-Bitche (Lorraine annexée), mort le 14 mai 1975 à Sarreguemines (Moselle) ; mineur dans les houillères de Moselle puis restaurateur à Sarreguemines (Moselle) ; secrétaire fédéral du Parti communiste mosellan ; secrétaire du Syndicat unitaire des mineurs de Moselle ; élève de l’ELI à Moscou ; membre suppléant du conseil national de la FNTSS-CGT ; conseiller municipal de Sarreguemines.

Édouard Meyer était le fils de Meinrad Meyer* et le frère aîné d’Adolphe Meyer* et Ferdinand Meyer* qui furent tous des militants communistes de la région mosellanne. Ses parents étaient d’origine paysanne mais son père était employé avant 1914 dans une fabrique de cuir en Allemagne d’où il revenait chaque samedi dans la petite exploitation agricole où travaillait sa femme. Édouard Meyer fréquenta alors l’école élémentaire allemande pendant huit ans. Il parlait et écrivait l’allemand, langue dans laquelle il rédigea son autobiographie. Il avait adhéré au Parti communiste en 1920. Par ailleurs il était membre de la CGT depuis 1919 et de la CGTU en 1922.

Édouard Meyer commença à travailler au lendemain de la guerre à l’âge de dix-sept ans comme nettoyeur chez De Dietrich à Niederbronn (Bas-Rhin). Révoqué pour fait de grève il devint mineur dans les mines de charbon de Sarre et Moselle à Saint-Fontaine de 1921 à 1923. De nouveau révoqué lors des grèves du 1er Mai, il effectua jusqu’en 1924 son service militaire comme simple soldat. Il reprit son métier de mineur et devint même chef-mineur. Mais il fut licencié pour sa participation à la grève du Premier Mai 1930 qu’il avait organisé et revint dans l’exploitation agricole de ses parents.

En 1930, il était secrétaire de la cellule de Merlebach et membre du comité régionale du Parti de la région Alsace-Lorraine. Il militait également à l’ARAC et au SRI. Il appartenait à la commission exécutive régionale du syndicat des mineurs. Il avait suivi les cours de l’école régionale du Parti en 1929-1930.

En 1930-1931 il fut élève pendant six mois à l’École léniniste internationale et devint, à son retour, secrétaire du Parti communiste pour la Moselle.

Édouard Meyer fut influencé par son père Meinrad, vieux militant socialiste d’avant-guerre qui rallia le PC et par un ami menuisier aux tendances anarchistes qui lui fit « prendre une conscience de classe ». Il milita dans différentes sections et cellules après avoir adhéré au Parti communiste après la scission de Tours : à Niederbronn en 1920-1921, à Sarreguemines de 1921 à 1924, à Bitche de 1924 à 1928. Il intervint en 1928 à la conférence nationale de la Bellevilloise. Il milita en 1928-1930 à Merlebach, de nouveau à Bitche avant son départ à l’ÉLI. Il était en 1929 membre du comité régional de Moselle, en 1932 secrétaire à l’organisation du Rayon de Sarreguemines (voir Émile Fritsch), et enfin secrétaire régional du parti pour la Moselle. Il était en 1934 affecté à la cellule de Hanviller qui comprenait six membres dont son père et ses deux frères Adolphe et Ferdinand, secrétaire. Il était par ailleurs, depuis sa création adhérent de la CGTU et fut membre de la direction des Syndicats unitaires des mineurs de Lorraine.

Édouard Meyer reconnaissait (dans son autobio de 1933) n’avoir pas suivi entièrement son parti au moment des crises en Alsace-Lorraine. Bien que non lié à l’opposition Hueber-Mourer en 1929-1930 (voir Charles Hueber et Jean-Pierre Mourer) il se prononça pour la proposition de Georges Schreckler. Il reconnut son erreur mais persistait à « condamner la méthode de ne pas faire la différence entre les chefs et ceux qui les suivent... et de les jeter tous dans le même panier ». Il eut également une attitude critique en 1932 lors de la crise Beron (voir Émile Beron) jugeant que le PC ne devait pas être trop « schématique » car « le prolétariat dans sa circonscription est avec lui [Beron] ». Faute de préparation le parti « n’a pas seulement subi un recul mais la banqueroute ». Le mal a été réparé avec “l’aide directe de Thorez”.

Édouard Meyer fut victime de la répression : condamné en 1932, à la suite d’une réunion contre la guerre, à trois mois de prison avec sursis, il avait avant le procès, passé quelques semaines dans l’illégalité. Un procès pour espionnage industriel lui fut également intenté.

Il fut candidat communiste aux élections législatives des 1er et 8 mai 1932 dans la circonscription de Sarreguemines, alors « secrétaire de syndicat », Édouard Meyer fut opposé au candidat de l’Union nationale républicaine démocratique (URD, droite), Henri Nominé, député sortant qui avait battu en 1928 le communiste Frédéric Knecht *. Édouard Meyer fut battu dès le premier tour sur un score sans appel : il obtint à peine 23 % des suffrages exprimés (3 372 voix) contre 77 % des suffrages et 11 267 voix au maire de Sarreguemines.

Il fut condamné le 26 octobre 1932 par le tribunal d’instance de Sarreguemines à une peine de trois mois de prison avec sursis et cinquante francs d’amende pour avoir appelé, au cours d’une réunion publique à Lemberg (Moselle) le 14 août 1932 à retourner les armes en cas de nouvelle guerre, non contre les travailleurs allemands mais contre les capitalistes.

Les 5 et 6 novembre 1932 à Metz se tint le congrès annuel du rayon communiste de la Moselle qui comptait alors quarante-sept cellules ou groupements locaux. Édouard Meyer était alors secrétaire du rayon en charge de l’organisation.

Il fut candidat aux élections d’octobre 1934 au conseil d’arrondissement de Sarreguemines pour le canton de Sarreguemines sur une liste d’union avec la SFIO. Il obtint au premier tour 2 127 voix sur 5 676 suffrages exprimés pour 5 958 votants et 9 244 électeurs inscrits et ne fut pas élu.

Édouard Meyer fut candidat aux élections municipales de Sarreguemines (Moselle) en mai 1935 sur la liste de gauche « antifasciste » rassemblant socialistes et communistes, opposée à celle du député-maire sortant Henri Nominé. À la surprise générale, la liste du maire fut mise en ballottage. Édouard Meyer obtint, au premier tour, 906 voix sur 2 969 suffrages exprimés pour 3 794 électeurs inscrits. Il fut élu au second tour en obtenant 1 215 voix pour 3 077 suffrages exprimés. Le 19 mai, Nicolas Nicklaus * fut élu maire SFIO de la ville.

Il s’était marié en 1936 mais n’eut pas d’enfant.

La commission des cadres qui le jugeait dévoué et actif (noté A1) lui reprochait cependant, après avoir rappelé ses positions lors des affaires Hueber et Beron, « d’agir très légèrement dans les questions touchant au travail illégal et à la sécurité ».

Édouard Meyer résidait en 1936 au 11, rue de France à Sarreguemines (Moselle) et exploitait le Café de Paris dans la même rue. Il avait six frères, dont deux au moins militaient activement dans les organisations communistes : Ferdinand et Adolphe Meyer*. Leur père, Meinrad Meyer *, était lui-même responsable de la cellule communiste de leur village natal.

Vers la fin de l’année 1935 et le début de l’année 1936, des dissensions opposèrent les dirigeants communistes mosellans. C’est à cette période qu’Édouard Meyer fut mis à l’écart de la direction du Parti en Moselle, sûrement lors du congrès des communistes mosellans le 12 janvier 1936 à Metz, auquel il assista.

Candidat communiste aux élections législatives des 26 avril et 3 mai 1936 dans la circonscription de Sarreguemines, il fut notamment opposé au député sortant, Henri Nominé (URD), aux SFIO Nicolas Nicklaus, maire de Sarreguemines et Philippe Christ*, retraité, adjoint au maire. Édouard Meyer obtint au premier tour 2 862, le troisième score derrière Henri Nominé 5 130 voix et l’indépendant Arthur-Jean Heid qui obtint 3 655 voix. Au second tour il obtint 2 739 voix et fut devancé par Henri Nominé 6 894 voix et Arthur-Jean Heid qui remporta l’élection avec 7 535 voix. Il ne réussit donc pas à améliorer son score malgré le retrait de Philippe Christ et Nicolas Nicklaus.

Il anima le 1er août 1937 à Sarreguemines, à l’initiative du comité local du Front populaire, une manifestation pour la Paix à l’occasion de l’anniversaire de la mort de Jean Jaurès. Devant une centaine de personnes, il mit en garde la population contre les dangers d’une « nouvelle guerre mondiale provoquée par les fascistes » et critiqua la politique de non intervention du gouvernement français dans la guerre d’Espagne.

En octobre 1937, il fut candidat communiste au renouvellement du conseil général dans le canton de Sarreguemines. Il obtint au premier tour 1 637 voix et arriva en troisième position derrière le candidat socialiste et derrière Henri Nominé qui rassembla 3 312 voix. Il ne maintint pas sa candidature au second tour où le candidat socialiste échoua de justesse en bénéficiant pourtant d’un bon report des voix qui s’étaient portées au premier tour sur le candidat communiste.

Mobilisé en 1939, Édouard Meyer remplit ses obligations militaires au Deuxième bataillon des Pontonniers. Sa famille fut évacuée à Chasseneuil-sur-Bonnieure (Charente) et s’installa en décembre 1939 au 7, rue de la République à Toul (Meurthe-et-Moselle).
Il fut déchu de son mandat de conseiller municipal de Sarreguemines par un arrêté du tribunal administratif d’Alsace-Lorraine en date du 18 mars 1940, appliquant le décret du 26 septembre 1939 portant dissolution des organisations communistes.

Expulsé de Lorraine le 7 septembre 1940, il fut assigné à résidence à Manne (Basses-Pyrénées).

Édouard Meyer rentra à Sarreguemines le 16 avril 1945 et fit partie de la commission municipale provisoire de la ville. Dès son retour, il fut l’artisan de la reconstruction des structures locales du PC.
Il se présenta aux élections municipales du 23 septembre 1945 mais retira sa candidature au second tour en arguant de manipulations et de fraudes. Il se présenta, au même moment, aux élections cantonales, mais fut battu par le candidat MRP, André Schaaf, qui obtint 7 862 voix contre 3 709 voix à Édouard Meyer et 1 974 voix à Édouard Fogt, ancien responsable local des FFI.

Durant tout l’après-guerre, Édouard Meyer tint une chronique régulière dans les colonnes de L’Humanité d’Alsace-Lorraine intitulée « Weiss du schon » (« Sais-tu déjà »). Polémiste habile, il était un orateur apprécié pour son esprit de répartie.

En février 1946, au congrès de la FNTSS-CGT de Montceau-lès-Mines il fut élu au conseil national (suppléant) de la fédération. Il fut réélu à ce poste au congrès de la FNTSS d’octobre 1950 à Wasiers (Nord).

Il se présenta à l’élection municipale d’octobre 1947 à Sarreguemines sur la liste d’Union républicaine et résistante présentée par le Parti communiste. Menant la liste, il fut l’un des six élus en obtenant 2 284 voix sur 5 249 suffrages exprimés pour 5 472 votants sur 8 686 électeurs inscrits.

En octobre 1949, il était secrétaire général de la section locale de Sarreguemines du PCF. Il exerçait une forte influence sur l’union locale de la CGT même s’il n’y occupait pas de fonction officielle.

Il menait aux élections municipales d’avril 1953 à Sarreguemines, la Liste d’Union ouvrière et démocratique présentée par le Parti communiste. Il fut élu en obtenant 2 457 voix sur 6 583 suffrages exprimés pour 6 786 votants sur 8 665 électeurs inscrits.
Dirigeant du PC sarregueminois, il se heurta à la fin de l’année 1953 aux dirigeants locaux de la CGT car il souhaitait qu’ils assurent la diffusion de la presse communiste dans les entreprises de la ville. De manière générale, il dirigeait de façon assez autoritaire les huit cellules communistes de Sarreguemines. En février 1955, l’AG des militants PC de Sarreguemines décida de décharger Édouard Meyer de ses fonctions de secrétaire de la section. Il restait responsable de la presse et de la propagande.

En juin 1956, les RG de Sarreguemines signalent qu’il s’opposait à toute campagne de déstalinisation au sein du PCF : pour lui « Staline reste Staline ». À la mi-novembre 1956, des lycéens de Sarreguemines organisèrent une manifestation de soutien à la Hongrie. Le cortège se présenta devant sa taverne où quelques « excès » furent commis.

Il fut candidat pour le Parti communiste aux élections législatives des 23 et 30 novembre 1958 dans la circonscription de Sarreguemines. Édouard Meyer était alors restaurateur. Jean Seitlinger, député sortant MRP, fut réélu dès le premier tour en obtenant 24 317 suffrages sur 34 329 suffrages exprimés pour 35 794 votants sur 44 528 électeurs inscrits, devant le candidat de l’UNR, Auguste Klein, qui obtint 6 213 voix. Le candidat communiste arriva en troisième position en recueillant 2 102 voix. Édouard Meyer ne réussit donc pas à éviter le déclin de l’influence communiste, dans une circonscription où son rayonnement était déjà limité, puisqu’aux élections législatives du 2 janvier 1956, la liste communiste avait rassemblé 4 004 électeurs, soit près du double des suffrages recueilli par le candidat communiste au premier tour.

Il se présenta aux élections municipales des 8 et 15 mars 1959 à Sarreguemines (Moselle) : il mena la Liste d’union ouvrière et démocratique présentée par le parti communiste et qui était notamment opposée à la liste de Joseph Massing (droite) qui remporta les élections avec une moyenne d’environ 5 000 voix. Il obtint 1 798 voix sur 6 976 votants pour 9 138 inscrits et ne fut pas élu.

En novembre 1959, le responsable communiste mosellan Pierre Muller* souhaitait priver Édouard Meyer de ses fonctions de secrétaire de la section communiste de Sarreguemines. Depuis le mois de juillet au moins il s’agissait de le remplacer et Édouard Meyer avait cessé de rédiger la chronique locale de Sarreguemines dans L’Humanité d’Alsace-Lorraine depuis le début du mois de septembre. L’intervention de Robert Dahlem * et Gabriel Schlosser qui rappelaient le rôle qu’il avait joué depuis la fin des années vingt pour développer l’influence du PC dans le secteur de Sarreguemines lui permit de se maintenir au secrétariat et de reprendre sa chronique journalistique.
Un nouveau conflit éclata en août 1960 car certains mettaient en avant son aisance financière en signalant qu’il posséderait « un café, une importante entreprise de nettoyage de vitrine et un immeuble de rapport à Sarreguemines ». Sa démission du secrétariat de la section fut confirmée à la fin du mois d’août. Édouard Meyer, qui conservait « son idéal marxiste » expliquait sa « mésentente » avec Pierre Muller en l’accusant d’avoir toujours fait obstacle à son entrée au sein du comité fédéral du PC par crainte qu’il ne devienne son rival. Les RG signalent qu’en juillet 1965 il intervenait encore dans les réunions du PC sarregueminois.

Édouard Meyer se présenta une dernière fois aux élections municipales de décembre 1967 sur une liste communiste. Il obtint au premier tour 2 657voix sur 8 484 suffrages exprimés pour 8 821 votants sur 12 788 électeurs inscrits. Au second tour il fut élu en obtenant 3 020 voix sur 8 264 suffrages exprimés et 8 472 votants.

Son enterrement se déroula le 17 mai 1975 devant plusieurs centaines de personnes. Parmi eux se trouvaient le député de droite Jean Seitlinger et le maire de la ville de Sarreguemines, Robert Pax, qui déclara dans son oraison funèbre que venait de disparaître « la figure la plus populaire de la ville » très apprécié de toutes « les couches de la population ». Arthur Buchmann*, secrétaire départemental du PC, souligna l’intense activité d’Édouard Meyer à la fédération communiste de Moselle.

Entre autres fonctions Édouard Meyer siégea aussi au Conseil d’administration de l’hôpital-clinique de Sarreguemines, fut membre du Comité de surveillance de la maison d’arrêt de la ville et du Comité des Cafetiers-hôteliers-restaurateurs de Sarreguemines. Il fut également vice-président de l’office d’HLM de la ville.

Édouard Meyer était marié, sans enfant.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article50094, notice MEYER Édouard, André. Pseudonyme : Ede STENGEL par René Lemarquis, Claude Pennetier, Pierre Schill, version mise en ligne le 5 mai 2009, dernière modification le 18 février 2021.

Par René Lemarquis, Claude Pennetier, Pierre Schill

SOURCES : Archives des Houillères du Bassin de Lorraine : Vt323-B26. — Archives départementales de la Moselle : 301 M 78 ; 303 M 56, 58, 75 et 77 ; 24 Z 15 et 16 ; 26 Z 15 et 16 ; 151 W 189, 191, 726, 821, 822 et 823 ; 182 W 20 ; 197 W 150. – Archives municipales de Sarreguemines (Moselle) : section IV - 3 H 36 et 43 ; section IV - 7 F 16, section IV - 14 K 4 (renseignements fournis par Didier Hemmert) ; 11 K 2, 4 et 5. — Forbacher Neueste Nachrichten, 7, 14 et 21 mai 1935 ; 27 avril et 4 mai 1936. – Le Républicain Lorrain, 15, 16 et 18 mai 1975. — Le Droit minier, n° 1, janvier 194 et n° 11, novembre 1950. — Numéro spécial de L’Humanité d’Alsace et de Lorraine, « Resistance im annektierten Elsass und Lothringen », Strasbourg, janvier 1965. — État civil de la commune de Hanviller (Moselle). — Le Courrier de Metz, 10 mars 1959. — Renseignements fournis par Frédéric Lehmann. — E.L. Baudon, Les élections en Moselle, 1919-1956, Metz, 1956. — Eugène Heiser, La tragédie lorraine, tome II, Ecartelés aux 4 vents, 1939-1945, Documents et Témoignages, Sarreguemines, Editions Pierron, 1979. — Patrick Oreilly, Le référendum de septembre et les élections législatives de novembre 1958 en Moselle, mémoire de maîtrise d’histoire sous la direction de Jean-Claude Delbreil, Université de Metz, 1979. — Gérard Diwo, Le communisme en Moselle (1925-1932) à travers les élections législatives d’avril 1928 et de mai 1932, mémoire de maîtrise d’histoire sous la direction d’Alfred Wahl, Université de Metz, 198. — Didier Kompa, La formation du Front populaire en Moselle, 1934-1936, mémoire de maîtrise d’histoire sous la direction d’Alfred Wahl, Université de Metz, 1985. — Gérard Diwo, Les formations politiques en Moselle (21 octobre 1945-17 juin 1951), thèse de doctorat d’histoire sous la direction d’Alfred Wahl, Université de Metz, 1992, 2 tomes. – Pierre Schill, 1936. Visages et figures du Front populaire en Moselle, Metz, Éditions Serpenoise, 2006.

ICONOGRAPHIE : Portrait vers le début des années 1970 (collection Pierre Schill).

fiches auteur-e-s
Version imprimable