Par Éric Belouet
Né le 27 mars 1922 à Montpeyroux (Hérault), mort le 24 décembre 1983 à Uccle (Belgique) ; photographe ; militant jociste, permanent (1946-1948) et secrétaire général (1947-1948) de la JOC.
Fils de Maurice, Louis, Jules Fabre, maçon, et d’Augusta née Fouet, sans profession, domiciliés à Montpeyroux puis à Bédarieux (Hérault), Henri Fabre était photographe avant de devenir permanent de la JOC en juillet 1946. Au terme du XXIIIe conseil national de la JOC en 1947, il fut nommé responsable national de la branche « Malades » puis, à l’automne de la même année, devint secrétaire général en remplacement de Claudius Ravachol* qui quittait le mouvement pour se marier. De santé précaire, Henri Fabre dut subir une grave intervention chirurgicale nécessitant un très long arrêt de travail. Aussi, en novembre 1948, le comité central de la JOC demanda-t-il à Eugène Descamps de le remplacer au poste de secrétaire général.
Henri Fabre se maria à Paris (Ier arr.) le 26 mai 1956 avec Mélitta Matveyeff.
Par Éric Belouet
SOURCES : Arch. JOC (SG), fichier des anciens permanents. — Positions, compte rendu des travaux du XXIIIe conseil national de la JOC, 1947. — Eugène Descamps, Militer, Fayard, 1971, p. 58. — État civil de Montpeyroux.