FOULET Maxime

Maxime Foulet était un ancien vendeur du « Printemps ». Candidat à la CE de l’Union des syndicats de la Région parisienne (congrès des 7-9 avril 1938), il ne fut pas élu. À nouveau candidat l’année suivante, il fut, cette fois, élu.

Maxime Foulet fut délégué au congrès national confédéral de Paris en septembre 1935 et de Toulouse en mars 1936. Son nom n’apparaît pas dans le compte rendu du congrès de Nantes de novembre 1938. Il fut membre du Conseil national économique de 1936 à 1940, au titre de la Fédération nationale des syndicats d’employés.

Secrétaire général de l’Union des syndicats d’ouvriers et employés de la région parisienne (remplaçant Albert Perrot, appelé au cabinet du ministre du Travail), il fut, successivement, nommé membre du comité de l’organisation professionnelle (26 mars 1941), membre du conseil supérieur de la Charte du travail (13 novembre 1941), membre du Conseil consultatif du centre d’information interprofessionnel (23 juin 1941), membre du comité d’études des questions sociales (16 avril 1942), membre du Conseil supérieur de l’économie industrielle et commerciale (12 septembre 1942), membre de la commission provisoire d’organisation de la famille professionnelle des commerces divers (16 mars 1943), membre de la commission de la Charte du travail constituée au sein du Conseil supérieur du travail (31 décembre 1943), président du comité social national de la famille des commerces divers, administrateur du service interprofessionnel de contrôle des familles professionnelles (16 mai 1944), membre du Conseil supérieur de l’économie industrielle et commerciale (7 août 1944).

Il fut exclu à vie de toute organisation syndicale à la Libération. (voir Georges Lefranc* et Gabriel Lafaye*).