ABADIE [Communard]

Abadie fut garde national dans l’artillerie fédérée pendant la Commune de Paris. La mairie du IIIe arr. de Paris lui attribua (ou attribua à sa famille) une pension annuelle de 1.165 francs comme victime « de la défense des libertés communales ». À la date du 15 mai 1871, un mois de pension avait été versé. Le 1er mai, 25 f. avaient également été versés au titre de secours en argent aux blessés.
Liste des morts ou blessés au service de la Commune de Paris qui reçurent (ou dont la famille reçut) une pension ou un secours en argent ou les deux, versés par la mairie du IIIe arr. de Paris :
Abadie, Albutroff (ou Albatroff ?), Andermahr, Anguy, Anth, Arnould, Babbé, Banseano, Bauër, Bellois, Bernier, Biord, Bondeau, Boudon, Bouquet, Boutellier, Burguière, Caunès, Chalou, Chamant, Charpentier, Charvet, Chassé, Claray, Colney, Combes, Commissaire, Coulon, Dabail, Darceot, Dartois, Delpeh, Desoye, Draëse, Dujy, Favre, Febvre, Fontan, Fourcaut, François, Fréville, Fromageau, Gachon, Gaide, Gardé, Gaulois, Grelle, Gretz, Guette, Guidon, Hébrard, Henri, Hugues, Isambert, Jolly, Korn, Lagneaux, Lahannier, Lambert, Larmignat, Lecomte, Ledebt, Lehé, Lejeay, Lemaire, Leprince, A. Leroy, L. Leroy, Lesimple, Lesueur, Lévy, Macron, Marandas, Masse, Masson, Moignon, Néolier, Neveu, Nicolas, Patelet, Pernet, Petit, Piau, Pinsard, Polonceau, Roger, Rouy, Staimer, Strobant, Subtil, Thiérard, Trotin, Valeton, Valy, Villermé, Vitoux.