Né le 28 juin 1841 à Lyon (Rhône) ; brossier ; célibataire ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Pendant la Commune de Paris, Antoine Albrecht fut simple garde au 202e bataillon fédéré, et le 14e conseil de guerre le condamna, le 13 février 1872, à la déportation simple ; embarqué à bord de la Guerrière, il arriva à Nouméa le 2 novembre 1872. Auparavant, il avait été condamné, pour vagabondage, à la maison de correction jusqu’à vingt ans.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/834. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Notes de Louis Bretonnière.