Communarde
Arivel, née Berthelot Marie, figurait sur la première liste de femmes prisonnières à Versailles après la Commune de Paris.
Indigente de Vierzon (Cher), elle sollicita, en mai 1872, de suivre son mari, Arivel François, en déportation à la Nouvelle-Calédonie. Sa requête ne fit l’objet d’aucune décision dans le Cher.
SOURCE : Arch. Dép. Cher, série M, Police politique, 57. Nous n’avons pas trouvé de dossier au nom de Arivel François. — Note de Louis Bretonnière.