Né le 8 août 1832 à Paris, XIVe arr. ; communard.
Frère de Maxime Avoine, Jules Alavoine était garde au 103e bataillon de la Garde nationale et membre de la Commission municipale du XIVe arr. sous la Commune de Paris — Voir Henry Lucien — il mena une vie plus effacée que son frère et que son neveu. Ouvrier peintre, il n’avait jamais été condamné. Le 10 septembre 1873, on lui infligea, par contumace, la peine de la déportation dans une enceinte fortifiée. Il fut gracié le 24 mai 1879.
SOURCE : Arch. Min. Guerre, 3e conseil.