Né à Crogny-en-Thelle (?) (Oise), le 15 mars 1841 ; fondeur ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Marié, père d’un enfant, Ballagny avait subi en 1858 une condamnation à 25 F d’amende pour outrages à agents.
Après la Commune de Paris, le 28 décembre 1871, il fut condamné à la déportation simple, puis débarqué à Nouméa le 25 septembre 1872. Sa peine fut commuée en huit ans de prison, en 1878. Il fut ramené en France par la Picardie.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/841. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.