Né le 27 juin 1853 à La Guillotière (Rhône) ; demeurant à Paris-Belleville ; sans profession ; communard.
Célibataire, Hubert Balvet fut condamné à une peine de déportation en enceinte fortifiée pour sa participation à la Commune. Il fut transporté en Nouvelle-Calédonie par le 3e convoi, arrivé à Nouméa le 5 novembre 1872 (n° matricule 350). Sa peine lui fut remise en janvier 1879. Son sort ultérieur n’est pas connu.
SOURCES : Arch. Nat., série H-70, Colonies. — Roger Pérennès, Déportés et forçats de la Commune, de Belleville à Nouméa, Nantes, Ouest éditions, 1991. — Note de M. Cordillot.