Né le 23 juin 1854 à Paris ; serrurier en voitures ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
François Barbillon était célibataire. Pour avoir servi la Commune de Paris, il fut condamné, le 30 mars 1872, par le 10e conseil de guerre, à la déportation simple, puis bénéficia, en 1877, d’une remise avec obligation de résider, et finalement de l’amnistie ; il revint par la Vire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/828. — Arch. PPo., listes d’amnistiés.