Né le 4 septembre 1842 à Domodossola (Italie) ; fumiste ; communard.
Jean Bareletti était célibataire. Garde national au 106e bataillon fédéré, il défendit Issy, Châtillon, puis, en mai 1871, l’Hôtel de Ville et le carrefour de la Croix-Rouge ; il se rendit ensuite à la barricade de la rue Saint-Sulpice.
Il fut condamné, le 4 avril 1872, par le 16e conseil de guerre, à la déportation simple. Sa bonne conduite en déportation lui valut remise de sa peine contre obligation de résider en Nouvelle-Calédonie en 1877, puis remise totale en 1878 et il rentra par la Vire.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/832 et BB 27. — Arch. PPo., listes d’amnistiés.