Né en juin 1840 à Arnac-la-Poste (Haute-Vienne) ; maçon ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Pierre Barlier était célibataire. Il servit la Commune de Paris au 119e bataillon comme simple garde et fut condamné, le 25 avril 1872, par le 14e conseil de guerre, à la déportation simple ; il fut débarqué à Nouméa le 5 novembre 1872. Amnistié, il rentra en France par le Calvados.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/848. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.